Un de ces jours, je vous parlerai de la pouffe-pouffe-grosse-grosse-pouffe qui m'a volé mon sujet de mémoire. En fait "un de ces jours", c'est maintenant. Attention, preview/spoiler/warning : si tu aimes les articles à base de sitcoms débiles et de tee-shirts Waikiki, passe ton chemin, j'ai arrêté depuis que j'ai repris la fac. C'est pas grave, si je finis pas en dépression prochainement, ce sera déjà bien.
Moi je suis conne, j'ai tendance à croire que je vis dans le monde d'Hello Kitty. Après cinq ans en droit, j'ai toujours pas pris le pli. Je refile mes cours aux gens malades sans mettre de fausses informations dedans, j'explique ce que j'ai développé dans ma dissertation... et, bigre, j'annonce ce que je projette de choisir comme sujet de mémoire. Et apparemment, il a plu à la grosse pouffe qui, cinq minutes avant, n'avait jamais réfléchi au sien. Je suis pas forte en athlétisme : surtout, je pensais pas que je devrais entamer une course contre la montre pour aller parler au prof à la fin du cours. Non parce que c'est con, à vingt secondes près, pouffe-pouffe-pouffe ne me piquait pas mon sujet de mémoire :
- Alors monsieur, j'ai loooonguement réfléchi et j'ai décidé ce que je voulais étudier dans mon mémoire de fin d'année...
Sous mes yeux. Sans même me regarder. Insolence, méprise, pathologie d'une vraie connasse? Ou alors est-ce tout bonnement moi qui ai une vraie tête de conne? Sans rire, aidez-moi à comprendre : la réussite, ça passe forcément par écraser les autres de manière aussi ostentatoire qu'injuste? Ou alors j'ai vraiment l'air d'une pigeonne? Est-ce que la boxe française m'aidera à casser la figure à des merdeuses? Est-ce qu'on pourrait pas organiser un grand quizz sur Hélène et les garçons pour l'attribution des sujets de mémoire? Est-ce que j'ai vraiment l'air conne? Non, non, répondez-moi là.
Moi je suis conne, j'ai tendance à croire que je vis dans le monde d'Hello Kitty. Après cinq ans en droit, j'ai toujours pas pris le pli. Je refile mes cours aux gens malades sans mettre de fausses informations dedans, j'explique ce que j'ai développé dans ma dissertation... et, bigre, j'annonce ce que je projette de choisir comme sujet de mémoire. Et apparemment, il a plu à la grosse pouffe qui, cinq minutes avant, n'avait jamais réfléchi au sien. Je suis pas forte en athlétisme : surtout, je pensais pas que je devrais entamer une course contre la montre pour aller parler au prof à la fin du cours. Non parce que c'est con, à vingt secondes près, pouffe-pouffe-pouffe ne me piquait pas mon sujet de mémoire :
- Alors monsieur, j'ai loooonguement réfléchi et j'ai décidé ce que je voulais étudier dans mon mémoire de fin d'année...
Sous mes yeux. Sans même me regarder. Insolence, méprise, pathologie d'une vraie connasse? Ou alors est-ce tout bonnement moi qui ai une vraie tête de conne? Sans rire, aidez-moi à comprendre : la réussite, ça passe forcément par écraser les autres de manière aussi ostentatoire qu'injuste? Ou alors j'ai vraiment l'air d'une pigeonne? Est-ce que la boxe française m'aidera à casser la figure à des merdeuses? Est-ce qu'on pourrait pas organiser un grand quizz sur Hélène et les garçons pour l'attribution des sujets de mémoire? Est-ce que j'ai vraiment l'air conne? Non, non, répondez-moi là.